L'État ayant accordé, en 1904, le groupe en marbre « Vers l'Amour » du sculpteur, Jean Escoula (1851-1911) à la ville de Nîmes pour la décoration de la promenade de la Fontaine, la Municipalité étudie l'emplacement idéal.
Le 9 décembre, une discutions s'engage, la Commission des Travaux publics et la Commission des Beaux Arts, sont d'accord pour l'installer au centre de l'espace libre situé à l'Est de la grande Allée.
M. Maruéjol (Conseiller Municipal), trouvant ce monument délicat et mièvre, quoique joli, le verrait plutôt dans la verdure, dans un bosquet, de préférence vers la source il ajoute : « là où les commissions voudraient le placer , il serait trop loin des regards (à l'époque la pelouse était interdite au public) et en quelque sorte noyé par le soleil. » M. le Maire, Gaston Crouzet, signale que les Commissions ayant prévu de mettre la statue sur un socle provisoire, une fois l'installation faite le Conseil pourra se rendre compte, si l'emplacement est bon.
Cette statue est actuellement à l'emplacement proposé par les commissions, c'est à dire, au centre de la pelouse située à droite de l'allée centrale.
L'État ayant accordé, en 1904, le groupe en marbre « Vers l'Amour » du sculpteur, Jean Escoula (1851-1911) à la ville de Nîmes pour la décoration de la promenade de la Fontaine, la Municipalité étudie l'emplacement idéal.
Le 9 décembre, une discutions s'engage, la Commission des Travaux publics et la Commission des Beaux Arts, sont d'accord pour l'installer au centre de l'espace libre situé à l'Est de la grande Allée.
M. Maruéjol (Conseiller Municipal), trouvant ce monument délicat et mièvre, quoique joli, le verrait plutôt dans la verdure, dans un bosquet, de préférence vers la source il ajoute : « là où les commissions voudraient le placer , il serait trop loin des regards (à l'époque la pelouse était interdite au public) et en quelque sorte noyé par le soleil. » M. le Maire, Gaston Crouzet, signale que les Commissions ayant prévu de mettre la statue sur un socle provisoire, une fois l'installation faite le Conseil pourra se rendre compte, si l'emplacement est bon.
Cette statue est actuellement à l'emplacement proposé par les commissions, c'est à dire, au centre de la pelouse située à droite de l'allée centrale.
L'État ayant accordé, en 1904, le groupe en marbre « Vers l'Amour » du sculpteur, Jean Escoula (1851-1911) à la ville de Nîmes pour la décoration de la promenade de la Fontaine, la Municipalité étudie l'emplacement idéal.
Le 9 décembre, une discutions s'engage, la Commission des Travaux publics et la Commission des Beaux Arts, sont d'accord pour l'installer au centre de l'espace libre situé à l'Est de la grande Allée.
M. Maruéjol (Conseiller Municipal), trouvant ce monument délicat et mièvre, quoique joli, le verrait plutôt dans la verdure, dans un bosquet, de préférence vers la source il ajoute : « là où les commissions voudraient le placer , il serait trop loin des regards (à l'époque la pelouse était interdite au public) et en quelque sorte noyé par le soleil. » M. le Maire, Gaston Crouzet, signale que les Commissions ayant prévu de mettre la statue sur un socle provisoire, une fois l'installation faite le Conseil pourra se rendre compte, si l'emplacement est bon.
Cette statue est actuellement à l'emplacement proposé par les commissions, c'est à dire, au centre de la pelouse située à droite de l'allée centrale.
L'État ayant accordé, en 1904, le groupe en marbre « Vers l'Amour » du sculpteur, Jean Escoula (1851-1911) à la ville de Nîmes pour la décoration de la promenade de la Fontaine, la Municipalité étudie l'emplacement idéal.
Le 9 décembre, une discutions s'engage, la Commission des Travaux publics et la Commission des Beaux Arts, sont d'accord pour l'installer au centre de l'espace libre situé à l'Est de la grande Allée.
M. Maruéjol (Conseiller Municipal), trouvant ce monument délicat et mièvre, quoique joli, le verrait plutôt dans la verdure, dans un bosquet, de préférence vers la source il ajoute : « là où les commissions voudraient le placer , il serait trop loin des regards (à l'époque la pelouse était interdite au public) et en quelque sorte noyé par le soleil. » M. le Maire, Gaston Crouzet, signale que les Commissions ayant prévu de mettre la statue sur un socle provisoire, une fois l'installation faite le Conseil pourra se rendre compte, si l'emplacement est bon.
Cette statue est actuellement à l'emplacement proposé par les commissions, c'est à dire, au centre de la pelouse située à droite de l'allée centrale.